Allez, une petite prose, comme ça, selon l'humeur du moment, selon les prémisses du matin...
" Aux antipodes des longs hivers, s'agitent dessous le verbe les prémisses aux fabuleux étés. D'affubler mon oeil aux joliesses bellâtres d'Elsa, c'est de la vie ses pourtours_ que dorures renaissent. Pour des jours chagrin que les vents mauvais de l'avril auront enfouis, j'ai laissé le temps se parer d'Elle, comme autant de réconfort à mon coeur, naguère, malmené. Prose d'amoureux, éloges à son effigie, la rime aura repris la course des sonnets, de ceux que l'on parfume avant que de les dire. Oui, d'avoir ressasser le goût des anciennes insouciances, c'est de la vie ses souffles chauds qui m'en seront revenus. Pour une Elsa, que des cerises le temps aime à choyer, s'y écoule aujourd'hui la phase printannière de quelques baisers doux..."