De passer par là, une brise faite prose m'en aura saisi le geste.. ..Instantané feutré d'un monde imaginaire, je m'en suis allé déverser ce que le coeur, parfois, cultive tt bas.
"Dans la clairière aux cheminements épris, s’échelonne d’Elsa la courroie des paradis. Sans que rien n’y greffe aucun travers, pas même « sous la robe » des naguère, c’est loin des lassitudes que je l’emmènerai bien. Usages dorés pour adorateur secret, il s’en clame en dessous bien plus qu’une étoffe de dentelles et lilas blancs. Comme si l’Egard corroborait son nom, j’écris ici les encolures du verbe qui défaites, font se glisser aussi l'Aveu. Oui, dans la clairière aux oisivetés aimantes, palpite le cœur et foisonne l’ardeur…quant à se délecter d’ « El », le «sa »lutaire des baisers s’y agite alors de plus bel. L’œil rêveur, par-delà le carreau d’une mansarde abandonnée, je scrute du temps celui que pour elle j’invoquerai bien. Oh sans que l’hiver n’y soit de mise, jamais, juste l’ambre et la soie d’une insouciance belle aux bords de ses yeux…. "