Des phrasés petits née d'une plume bavarde....Des embruns de lune pour Elsa....qui d'ôdes légères en sonnets printannières, dépeignent ce que la pudeur de Salinger...aura tôt fait de retenir....
Faut pas croire! lol., mais derrière l'écriture....siège, parfois, ce qu'aux silences la timidité camoufle...
" Au clair de lune des mondes endormis, j'ai rêvé d'Elsa_ le cheminement des favorites. Ecumant de la prose ce qu'aux nuits blanches l'encrier concède de rimes, s'en sont décuplés sur papier-vélin...les arpèges suscités. A peine une éclenche aux cîmes d'un minuit sonné,...qu'en l'emphase des songes_ l'or s'était dit fiancé de ses yeux arrimés. Tel au bleu-nuit l'Etoile rose des cieux, j'ai rêvé d'Elsa_ la promesse de l'Aveu. Planisphères de hasard et murmures de safran,....le verbe prenait la pose des amants. Ondes opalines et récurrences de velours,....le coeur escortait de la chamade_ ce qu'au "t'aime" le mien suppose de plis bleus.."